Prévues par le traité de Rome (1957) dans le cadre du marché intérieur, les quatre libertés de
circulation (des personnes, des marchandises, des capitaux et paiements, ainsi que des services) sont au coeur du projet européen. Le principe de la libre circulation des personnes, qui
compte parmi les droits de l’homme, prend une autre dimension lorsque cinq États
membres de la Communauté européenne – le Luxembourg, la Belgique, les Pays-Bas, la France
et l’Allemagne – concluent, le 14 juin 1985, l’Accord de Schengen, qui allait préfigurer la citoyenneté européenne et mener vers un espace unique de sécurité et de justice. Trente-cinq ans après, un rappel historique s’impose.
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