Le 8 mai dernier, Emmanuel Macron se tenait seul au bout d’une avenue vidée, de peur d’une possible casserolade. Cette image marquante nous rappelle à considérer les commémorations comme des enjeux politiques de premier ordre, renvoyant toujours à un état des relations entre État, pouvoir et citoyens, y compris dans ce que ce lien peut avoir de plus conflictuel. Il en ira des mêmes enjeux pour la commémoration, ce 11 novembre, des 105 ans de l’armistice de 1918.
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