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The history of the National Telecommunications Network for Technology, Education and Research, born in 1993, had its roots in the 1980s, when scientific actors started to build networks in France, in a simultaneous but still dispersed way. From the beginning, Renater was original: local initiatives preceded the implementation of a national infrastructure that became part of world exchanges.

Économiste et juriste, homme politique et diplomate, acteur de marque de la construction européenne et notamment de l’intégration monétaire, participant à l’édification du Luxembourg contemporain, membre des milieux académiques, très présent dans les réseaux économiques européens et outre-Atlantique et intellectuel catholique militant, Pierre Werner (29 décembre 1913 – 24 juin 2002) a traversé le XXe siècle.

This article is part of the Forum special issue about the relations between Luxembourg and the United States. In this context, 'Says Who?' analyses the complex reception of the work of Luxembourg born American artist and curator, Edward Steichen, in his native country.

Série de trois séminaires consacrés aux problématiques liées à la guerre froide, accompagnés de séances méthodologiques sur l’utilisation de ressources documentaires (photographies, caricatures, documents audiovisuels, archives d'époque, infographie) concernant les grandes crises entre l'Est et l'Ouest depuis la fin de la Seconde guerre mondiale.

The "Bitter Years" was the title of a seminal exhibition held in 1962 at The Museum of Modern Art, New York, curated by Edward Steichen, and 2012 marks its 50th anniversary. The show featured 209 images by photographers who worked under the aegis of the US Farm Security Administration (FSA) in 193541 as part of Roosevelts New Deal. The Great Depression of the 1930s defined a generation in modern American history and was still a vivid memory in 1962.

Si en moins de quarante années, l’informatique s’est diffusée dans le grand public, permettant de faire circuler des données, du son, de l’image, si cette société de l’information et de la communication est incarnée par l’Internet, d’autres réseaux ont apporté leur contribution à une histoire dont l’étude éclaire les possibles, les futurs, les modèles, positifs ou répulsifs, qui traversent des imaginaires des réseaux, qui ne commencent pas avec Internet.

Cet ouvrage offre une approche historique de la téléinformatique et des réseaux de données afin de comprendre la naissance des réseaux à commutation de paquets en France. Cette mise en place de transmissions de données implique un rapprochement entre les télécommunications et l'informatique, convergence qui se fait non sans heurts.

En prenant pour point de départ la neutralité de l’Internet, objet d’un vaste débat commencé aux États-Unis en 2003, cet article souhaite montrer que les questions techniques, celles qui portent sur les architectures et modèles de l’Internet, ont des implications économiques et politiques, et convoquent des valeurs et imaginaires puissants et divergents selon les acteurs. Ces réflexions ne peuvent être dissociées de celles sur les usages et les pratiques du Web et sur les rapports de pouvoir à l’œuvre dans l’économie Internet.

Le développement d’Internet met en avant des acteurs multiples et s’inscrit dans une co-construction favorable à l’innovation ascendante.Celle-ci mobilise cependant des « usagers » aux statuts très contrastés, allant des amateurs passionnés aux utilisateurs très « éclairés » que sont, par exemple, certains chercheurs. L’émergence de l’Internet en France permet d’observer ces frontières imprécises entre monde des producteurs d’innovation et sphères des « utilisateurs », le cas de l’Inria étant à cet égard particulièrement éclairant.

Ce chapitre à partir des exemples historiques interroge le rapport à la technique d'équipes d'ingénieurs ayant travaillé à l'Inria.

Une synthèse consacrée au Minitel, depuis sa naissance au début des années 1980 jusqu'à sa disparition, programmée le 30 juin 2012.

Comment l’institution muséale dans son ensemble et dans sa diversité a-t-elle négocié le virage numérique des années 1990-2000 et comment s’adapte-t-elle aujourd’hui aux nouveaux usages (réseaux sociaux, Web 2.0...) de ces outils numériques ? Les réponses apportées à ces interrogations montrent la diversité des situations et ne permettent pas de dégager un modèle bien défini par des musées qui, dans ce domaine, semblent encore assez marqués par l’expérimentation et le pragmatisme.